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Limiter les impacts
du chantier

Nuisances sonores

Deux sources sont génératrices de bruit sur le chantier : le matériel utilisé pour réaliser les travaux et la nature même de certains travaux.

Les chargeurs, les pelles ou bien encore les compacteurs sont équipées d’alarmes de recul.  Obligatoires pour garantir la sécurité des hommes travaillant sur le chantier. Toutefois, ces alarmes ne doivent pas dépasser le seuil sonore conforme à la réglementation en vigueur. Tout le matériel utilisé sur le chantier est homologué et révisé à intervalles réguliers.

Certaines phases du chantier comme le vibro-fonçage ou le battage des palplanches ou la réalisation des pieux sont plus bruyantes que d’autres, les travaux de fondation font parties de celles-ci. Des dispositifs de réduction du bruit ont donc été installés, c’est ainsi que le marteau hydraulique a été équipé d’un manchon acoustique permanent pour atténuer le bruit de frappe généré par l’outil. 

 

Poussière

Des mesures visant à réduire les envols de poussières ont été mises en œuvre dès le démarrage des travaux. Les fortes chaleurs de l’été ont amené le groupement à renforcer le système d’arrosage quotidien par un arrosage manuel complémentaire. Le dispositif comprenait également un nettoyage quotidien de la piste de chantier.

Circulation et stationnements

Les emprises de chantier ont été dimensionnées et adaptées pour permettre la bonne exécution des travaux, en toute sécurité. Cet aménagement présente l’avantage d’éviter tout déversement de terre et gravats sur les voiries publiques.

La trame circulatoire de l’avenue Cantini a été également adaptée (mise en sens unique dans le sens Rabatau vers Castellane) pour en fluidifier et en sécuriser la circulation pendant les travaux. Cette adaptation préfigure la future avenue Cantini dans le cadre de l’extension de la ligne 3 du Tramway.

Convois exceptionnels

Des convois exceptionnels approvisionnent ponctuellement le chantier. Ce type de transport est strictement encadré. Un transport exceptionnel ne peut circuler sur les voies ouvertes à la circulation publique que sous couvert d’une autorisation préalable dite de « transport exceptionnel ».

A Marseille, ces convois ne sont pas autorisés à circuler de jour en la ville. Le chantier de la bretelle Schlœsing ne peut donc être approvisionné qu’après 22 heures lorsque la circulation des voitures se fait moins dense. Moins d’une dizaine de convois est programmée d’ici la fin de l’année.